Mélanger la farine à la margarine dans un saladier, comme on commencerait une pâte brisée : on doit obtenir un genre de semoule sèche. Ajouter le sel, le sucre et la levure ; mélanger.

Verser le lait et mélanger à la main. On doit obtenir une consistance de pâte pas trop collante, souple et qui se tient bien. Ajouter de la farine en plus si besoin, mais faire attention à ne pas aboutir à une pâte trop sèche : c’est moins bon.

Ajouter ensuite les divers machins qu’on a choisi d’y ajouter (voir fin de la recette pour un peu d’inspiration). Si la pâte est redevenue collante, ajouter encore de la farine. Bien incorporer le tout.

Étaler la pâte obtenue sur un plan de travail, sur un bon centimètre d’épaisseur. Le but n’est vraiment pas d’avoir une pâte fine. Prendre un emporte-pièce quelconque — par exemple un verre de petit diamètre — et découper proprement des cercles. Les déposer sur une plaque de cuisson, et enfourner à 210°C en chaleur tournante pour environ 15 minutes. Surveiller dès 10 minutes, arrêter dès qu’ils sont bien dorés.

Parmi les trucs divers possibles, on peut envisager les raisins secs, le miel, le sirop d’érable, les amandes (pilées), les pommes, …

La tradition anglaise veut que ça soit servi avec de la confiture, et/ou une crème chantilly épaisse. Ça n’est pas vraiment nécessaire, cela dit.